Album Lumes

(05/2017 – label sarband)

Quelques de chroniques suite à la sortie de l’album « LUMES », premier album du duo Bertolino Le Gac (sortie 05/2017) :

« This album takes them way beyond the Occitan and Breton traditions where they first made their names and into a wide range of improvisational moods where they seem to be trying to create cultural soundscapes from a variety of starting points, including traditional melodies and airs but also starting from natural sounds.
They seem to have invented their own structural rules and it makes for intense, demanding and exhilarating listening.
You can hear a track on this issue’s fRoots 65 compilation. »
fRoots Mag – Vic Smith

« La Magie de ce dialogue tient à la richesse des textures, à la tournure polyphonique des mélodies, qui s’abreuvent aussi aux courants minimalistes ; mais surtout à la spontanéité de leurs élans, qui exaltent la griserie des grands espaces et la mélancolie des jours de brume. Entre sonorités médiévales et ondes magnétiques, bourrées nocturnes et bruits d’orage étrangement réconfortants, ces lumières mouvantes irradient telles des aurores boréales, suspendues entre deux époques, entre ciel et terre. »
Télérama – 4f – Anne Berthod

« Deux ans après la sortie de Sòrga, splendeur poétique irisée de reflets méditerranéens et celtiques, il semble que Dupain soit de nouveau en rade. Heureusement deux de ses membres, le flûtiste Gurvant Le Gac et le joueur de vielle à roue Pierre Laurent Bertolino n’ont pas renoncé à vibrer de concert, merci pour nous. Les retrouver, c’est repartir à l’instant dans cet espace de légende, de lumière et de recueillement solitaire, loin des simulacres de l’époque, pour se ressourcer au foyer d’une musique sans âge, d’une pureté exceptionnelle. Aussi difficile serait-il à trouver, ne passez pas à côté de cet album : il est indispensable. »
Les Inrocks – Louis-Julien Nicolaou

« Gurvant Le Gac et Pierre Laurent Bertolino livrent ici une création inspirée, hors du temps, d’une séduisante modernité. Une musique vagabonde, nourrie aux sources de Bretagne et des Pays d’Oc, que le duo complice a su faire voyager ailleurs, plus loin… »
Festival Les Suds / Arles – Marie-José Justamond

« Un temps complices au sein du groupe Dupain, le marseillais et le breton poursuivent leur conversation étoilée. Ils inventent un idiome très libre où les textures, savamment travaillées, explosent dans un bouquet coloré qui se régénère en temps réel. Comme une brise de mistral habitée de fulgurances celtiques, comme une lande brumeuse qui prend une tangente ensoleillée. »
Le Quartz / S.N de Brest – Anne Millour

« Une première pièce totalement improvisée qui condense toute l’identité du duo, dans la lignée des écoles répétitives-minimalistes, à partir d’une série de motifs s’enchaînant les uns aux autres par variations progressives, micro-développements, déformations, parfois ponctués d’une brève échappée libre. Le flûtiste plutôt dans une situation de soliste, le vieilleux plus dans un rôle orchestral de proposition (grooves, climats, couleurs timbrales ou modales), de réplique ou d’accompagnement. (…) la dimension polyrythmique du duo s’impose avant même qu’aucune des pédales n’aient été déclenchées, Le Gac jouant à lui seul de la polyrythmie par les glissements métriques qui semblent le posséder. »
Jazz Magazine – Franck Bergerot

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