Avec Son’Rod, son nouvel album, le groupe prolonge son raffinement musical vers de nouvelles contrées sensorielles avec des compositions plus amples ; lumières intenses, sons virevoltants, fougues tribales, énergie urbaine… une bien belle manière de perdre pied !
Le disque est un hymne à la géographie bousculée ! Il rend hommage aux musiciens en mouvement qui s’épanouissent aisément dans différents contextes musicaux.
La création en live laisse une place décisive à la danse, avec l’envie des musiciens de la dilater, de la nuancer, de la sublimer pour ainsi évoquer chez l’auditeur la nécessité de tracer la route… de tracer sa route.
Invités : Francois Corneloup : saxophone baryton
Nicolas Krassik : violon
With the album Son’Rod, the band extends its musical refinement further into new regions of feeling with wider-ranging compositions, intense lights, twirling sounds, tribal spirits, urban energy … a beautiful way get hopping!
The record is an anthem to shaking up geography! It pays tribute to constantly-moving musicians who easilybloom in different musical contexts.
Their live act clears out a space for dancing, fed with the musicians’ desire to keep it spreading, to nuance it, sublimate it, to thereby evoke a need in the listeners to follow the path … to trace its route.
Guests : Francois Corneloup : baritone saxophone / Nicolas Krassik : violin
« De très belles sonorités, des accents de partout, l’éternelle inquiétude du musicien qui veut se renouveler et ne surtout pas s’endormir, la profonde connaissance de sa culture, c’est magnifique.
Merci de m’avoir fait participer à cette belle aventure, à ce surprenant voyage entre le Brésil et la Bretagne. »
« (…) Ma chance aura été qu’il existe des artistes comme eux, à qui l’ancrage pourtant si fidèle à une culture laisse encore la liberté d’observer d’autres horizons. Ma chance aura été de comprendre à leur contact que c’est parce qu’ils savent qu’ils sont vivants dans leur culture, qu’ils savent que d’autres cultures vivent ailleurs et qu’il faut savoir les voir. Ma chance aura été qu’ils m’aident à comprendre qu’au fond, ce que j’ai cru être un dépaysement est peut-être… un re-paysement. »